Le moyen-âge au miroir des sceaux [Documentaire audiovisuel - ina]

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Le moyen-âge au miroir des sceaux

Historien du moyen âge, directeur des archives de France, Jean FAVIER nous convie à découvrir, au cours de quatre émissions, la grande et la petite histoire à travers les richesses des quatre cent cinquante kilomètres de rayonnages des archives nationales. Au cours de cette première émission, il fait parler des sceaux de cire du moyen-âge, incomparables témoins des structures de la société médiévale, de l'organisation politique, des costumes ou des armements. Signature, miroir, empreinte, le sceau est aussi l'affirmation d'une identité. Le sceau du roi est le signe de sa souveraineté. Jean FAVIER présente le sceau de Saint Louis et raconte que le jour où le roi de France, Charles VII, entra dans Rouen reconquise, il était précède par un Cheval Blanc sans cavalier qui portait son sceau. Chevaliers et grands barons se font graver des sceaux équestres. Les fonctionnaires du roi ont le leur, plus ou moins grand selon leur rang. Amoureux d'art ou de poésie, les chevaliers occitans se font représenter avec leur viole ou leur lyre. Les dames ont un sceau en navette ou elles posent avec la main sur le coeur mais parfois comme marguerite de Bourgogne elles se font graver un sceau équestre. Les villes par affirmation politique se font représenter par leurs échevins ou par la représentation de leurs fortifications et de leurs étendards. Même les riches paysans suivent les nobles en utilisant des symboles comme les gerbes de blé. Le sceau figure également au bas d'actes officiels comme une signature. Jean FAVIER note qu'il est difficile d'avoir des détails sur ces graveurs anonymes. Nombreux détails de Sceaux qui rendent vie a la mémoire d'un peuple. L'INA est le producteur exécutif de cette émission.

      Le moyen-âge au miroir des sceaux (ina)


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La Société Française d'Héraldique et de Sigillographie organise le mardi 14 octobre à Paris, rue Vivienne, Institut National d'Histoire de l'Art (galerie Colbert) une journée sur l'étude des matrices de sceaux.

Dis moi Raymond .... rue Colbert tu l'as faite volontairement celle là ?

P.S ; Il est certain que les médiévistes ne comprendront pas

Même pas ! J'ai vu, bien sûr, mais j'ai cru devoir recopier sans le commenter le document de la S.F.H.S.qui indiquait galerie Colbert, rue Vivienne. Je pense d'ailleurs qu'elle évoque le ministre plutôt que le général d'empire que je représente en reconstitution impériale.